• Mardi 24 Juillet : La baie de Tamarone

    Mardi 24 Juillet : La baie de Tamarone

    On se lève tôt et nous démontons le camp. Chaque famille est bien rodée, même si c’est nouveau pour nous de nous occuper d’un Bout’Chou en même temps. Certes, on ne peut pas vraiment le laisser par terre (à cause des guêpes principalement), et ça n’est pas vraiment son truc, mais le nombre est pour nous ! Il suffit de le passer de bras en bras, les grands Kevin et Dylan étant là pour lui faire passer le temps. De plus, le siège-auto en transat provisoire n’est pas trop mal non plus ! Mais bon, comme Bout’Chou va passer du temps dedans, on évite un maximum de le mettre dedans…

     

     

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    Nous prenons la direction du Cap Corse. Nous passons par Nonza, une petite ville (village ?) réputée pour son église Sainte-Julie fort jolie. Malheureusement, c’est bondé ! La route sinueuse et le nombre de touristes ont raison de notre volonté de nous arrêter, ainsi que le peu d’emplacements où se garer (en fait, inexistant). Il y avait normalement une plage de galets noirs également, mais pour la même raison, nous avons passer notre chemin.

    Nous poursuivons un peu plus loin jusqu’à Marinella. Il n’y avait personne, il y avait de la place… C’était parfait pour une pause déjeuner ! Sam en a même profité pour piquer une tête.

     

     

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    Nous reprenons de nouveau le chemin et nous passons devant une tour levesque, dans les petites choses à voir.

    Finalement, nous arrivons à bon port et posons les tentes au caloing de Macinaggio, non loin de la Baie de Tamarone.
    Concernant le camping, le bilan est assez mitigé. Le propriétaire n’a rien voulu entendre sur le fait que le Bout’Chou n’avait que quatre mois ! Il l’a fait payer au même prix qu’un enfant de six ans, alors qu’il n’y a aucune installation pour petits enfants de prévu (si encore il y avait un endroit où langer, mais même pas !) De plus, l’eau chaude est rare, et le peu de chaud qu’il y avait refroidissait dans la seconde ! Le service est vraiment moyen pour le prix payé !

    Enfin… Dans la soirée, nous marchons jusqu’à la plage de Tamarone qui est supposée être une plage de sable blanc très fin. Malheureusement, c’est une année à algues et ces dernières envahissent entièrement la plage, sèchent et offrent un chemin plutôt mou sur lequel marcher (mais rien de visqueux je vous rassure, ça ressemble plus à des copeaux de bois).