Auteur/autrice : Ju

  • Allemagne, nous voilà !

    Allemagne, nous voilà !

    La nuit fut calme et reposante.

    Dans les petits détails technique, nous avions laissé nos fenêtres du haut un tout petit peu ouvertes afin de limiter la buée et laisser un peu le jour (et l’air) entrer afin de nous réveiller naturellement. Ça a bien marché ! C’était tellement agréable de dormir au chaud tout en ayant l’air frais dans le nez !

    Les habitudes du matin commencent à se mettre en place. Comment s’organise-t-on pour ranger ? Qui fait quoi ? Dans quel ordre ? On teste également l’eau chaude pour la douche le matin : le GRAND luxe total ! On est vraiment passés dans une autre catégorie avec ce véhicule, et les galères de la tente semblent bien loin d’un coup ! A n’en pas douter qu’on va y prendre goût !

    On se prépare mentalement à une très longue journée de route. La Belgique nous dit bientôt au revoir, et c’est presque furtivement que l’on passe en Allemagne. La frontière semble si normale et comme « avant » ! Ici non plus, pas de contrôle et heureusement ! C’était celui que nous craignons le plus, car l’Allemagne était le seul pays à exiger pour les enfants de plus de 6 ans un test PCR en cas de non-vaccination (à laquelle ils n’ont pas le droit… ).

    Ceci dit, nous n’étions pas non plus très gais de retrouver les autoroutes allemandes : toujours en travaux monstres. C’est ainsi que nous alternons fréquemment entre les portions où il n’y a aucune limite de vitesse (et attention aux voitures allant à 250Km/H) et celles où en peu de temps, on passe à du 60 voir du 40 Km/H. Autant dire que ce trafic en accordéon n’est pas de tout repos.

    Nous traversons ainsi la région de la Ruhr. Nous faisons quand même le plein d’essence avant de trouver un endroit pique-niquer. La région est très boisée, et en faisant quelques pas, il n’y a certes pas de table de pique-nique, mais nous marcherons dans une petite forêt. Cela permet de se dégourdir les jambes et de laisser Sam respirer un peu avant de reprendre le volant. Nous verrons une cabane d’observation dans le champ non loin, même si elle donne vers un champ à vaches. Les chevreuils et les daims ne doivent pas être trop loin !

    C’est avec soulagement que nous quittons les autoroutes pour passer sur les voies normales. Comme chaque route de cet acabit en Allemagne, on peut voir sur le côté, une piste cyclable bien séparée de la voie des voitures, et ce, tout le long, pas d’interruption !

    Par ailleurs, c’est l’occasion d’apercevoir dans les environs, ici et là, quelques cigognes marchant dans les champs pour essayer d’attraper quelques nourritures. On peut même les apercevoir de loin : tâches blanches et noires, majestueuses sur leurs longues et fines pattes.

    Nous nous garons pour la soirée à la fin d’une piste, non loin de Brême, tout près d’un lac protégé.

    Pour nous en approcher, il faut emprunter un chemin de très hautes herbes… envahi de limaces !

    Si Sam y va comme un bourrin (tout en s’accroupissant près d’elles pour les prendre en photo, ces demoiselles gluantes), il s’agit d’un véritable parcours d’obstacles pour les enfants et moi, qui détestons au plus haut point ces machins. On a l’habitude de faire nos pas de ballerines, mais il faut à présent rajoute pirouettes et arabesques pour que nos cuisses ne les touchent pas !

    Au retour au camp, Sam fait joujou avec le drône histoire de prendre d’avoir une magnifique vue sur le lac qu’on aura juste entraperçu à travers les hautes herbes.

    Au final, avec le soleil qui se couche assez tard, nous en faisons de même. Et c’est après la lecture d’un conte islandais (« L’elfe en détresse ») que les enfants ferment les yeux après cette journée remplie d’imprévus !

     

    Et Lumen dans tout ça ?

    Elle s’occupe le temps de la route.. !


  • Premier jour de route !

    Premier jour de route !

    Alors, c’est bien beau de partir en Islande, mais tout d’abord, il faut y arriver !

    Nous partons le jeudi 8 juillet de notre chez-nous direction le nord-est !

    Quelques missions nous attendent afin de partir sereinement : changer l’eau des réservoirs, car mine de rien, elle patiente depuis plus de deux mois déjà, et ça nous permet de rincer le réservoir d’eau grise également. Nous nous arrêtons pour se faire dans un petit village et nous en profitons pour prendre du pain pour notre pique-nique du midi (profitons-en tant qu’il y en a ! Pour le coup, nous ne sommes pas très pressés de passer au pain de mie…. ).

    A peine les garçons sont-ils attachés à leur siège-auto qu’ils se ruent sur les surprises laissées par Mamie Viou : manga Pokemon et cahier d’activités Super Mario n’ont qu’à bien se tenir ! Le temps est au beau et un petit sentiment de liberté et d’insouciance commence à voler au-dessus de nos têtes. Adieu l’école, adieu le travail, adieu les inquiétudes de la situation sanitaire ! On respire !

    On roule, on roule à travers la campagne française, évitant les grosses autoroutes en direction de la Belgique. Nous passerons notre midi au milieu des vignes en Champagne. C’est l’occasion de faire nos premiers pas (enfin moi surtout!) avec le drone. Un tout petit joujou, mais sympathique comme tout pour faire de magnifiques prises de vue. Serait-ce le début de la fin de la recherche du meilleur point de vue en hauteur pour faire une photo de la vallée ? Peut-être… Mais en tout cas, plus besoin de pied pour la photo de famille et nous allons pouvoir varier les angles de vue !

     

    Après cette pause bien méritée, nous quittons la France. La frontière est devant nous. Il y a comme une petite appréhension le temps de la passer et puis… Rien… ! Pas de contrôle de pass sanitaire, nada ! Un goût du monde d’avant s’offre à nous !

    Nous poursuivons encore quelques temps et nous traversons La Roche-en-Ardennes. Les ruines du vieux château apparaissent dès l’entrée de la ville aux allures typiques belges : maisons en briques rouges et pour couronner le tout une jolie place, des boulangeries et des friteries. On ne tergiverse pas trop pour décider de faire une pause dans ce joli centre-ville.

     

    Et même si on arrive trop tard pour visiter le château, il n’en demeure pas moins que de juste se promener dans les allées piétonnes, rythmées par les accordéons des musiciens. Il y a comme un air de fête ou tout simplement d’été. On en profite pour faire les gourmands ou pour devenir des vacanciers comme il se doit : crêpes (pas de gaufre au chocolat!) et glaces pour le quatre-heures !

     

    Finalement, il faisait faim, et ce n’est pas le petit embrun qui tombe sur nos têtes qui nous empêchera de savourer !

    On reprend la route pour rejoindre notre bivouac du soir : un champ perdu au milieu de nulle part non loin de là. On aura l’occasion d’apercevoir un chevreuil qui s’aventurera à l’orée de la forêt.

    C’est le moment de reprendre les habitudes de voyage avec les petits gestes du quotidien : cuisine et vaisselle revisitées. Nous nous moulons à l’intérieur de notre véhicule, le cocon prend forme. Par ci, par là, la mécanique commence à être bien huilée, que ce soit pour l’installation des lits, ou savoir où poser ses vêtements !

     

     

    C’est aussi le soir que nous nous apercevons d’un oubli majeur et bien malheureux : les doudous sont restés à la maison. Bon, déjà, on se dit qu’on ne les a pas oubliés quelque part sur la route, s’ils nous attendent sagement à la maison, tout va bien ! Et puis, les garçons ont des oreillers-peluches, cela atténue un petit peu leur malheur…

    Demain nous attend une autre journée de route bien chargée avec sûrement d’autres aventures !

     

    Et Lumen dans tout ça ?

    Elle savoure les gaufres belges bien sûr !

     


  • En route vers l’Islande !

    En route vers l’Islande !

    Cela fait quelques semaines que la famille est en pleine effervescence !

    Et oui, après avoir rongé notre frein pendant un an, nous allons reprendre (temporairement) la route !

    C’est venu un peu comme un coup de tête. En fait, surtout lorsque Sam et moi étions tous les deux sûrs d’avoir nos deux doses de vaccin avant de partir sur les routes. Et puis… il restait de la place sur le bateau… Peut-être que cette année, il y aura moins de monde à cause de la pandémie.. Et puis, ce volcan en éruption…. Voilà, la décision est prise en peu de temps après l’accord des deux garçons en cas de test PCR obligatoire !

    L’un accepte de suite, l’autre est un peu moins partant, mais avec un peu de chance, à présent que l’Europe harmonise un petit peu ses conditions de passage, les petits loups n’en auront pas à faire avec leurs deux parents en possession du précieux sésame !

    C’est donc ainsi que nous voici tout prêts à partir pour… l’ISLANDE !

    C’est l’occasion pour nous de tester notre maison roulante en bonne et due forme sur des pistes que les véhicules normaux ne peuvent emprunter (ah et s’entraîner à passer des gués il paraît… ). De plus, ce pays dont nous avions fait le tour nous avait beaucoup plu à l’époque et ce sera formidable de le refaire avec les garçons, de leur faire découvrir toute l’activité géothermique, de guetter les phoques sur les rivages, de s’imprégner de l’atmosphère si particulière de ces paysages taillés par le vent et la mer…. La pluie ne nous fait plus peur (on sera quand même bien plus confortable qu’avec notre tente de l’époque… ) et ce sera un magnifique test grandeur nature : que ce soit pour la tenue du blog, de faire et des vidéos et des petits dessins….

    Bon… Comme d’habitude, les téléphones font leur crise (cette fois-ci, Avant le départ.. Ce ne sera donc pas comme en Norvège où nous avions dû tout faire avec un seul téléphone). Cette fois-ci, pour changer, c’est mon téléphone qui a décidé qu’il ne voulait plus travailler. Sûrement qu’il a décidé de partir en retraite anticipée en constatant que le téléphone de back-up prévu (oui, vous savez, pour ne pas faire comme en Norvège…) était chargé et prêt à voyager ! Bon.. eh bien… on n’avait plus qu’à piocher dans un de nos anciens téléphones pour en faire un nouveau back-up alors que cette dernière journée de préparation était déjà dense ! Au moins a-t-il eu la bonne idée de tomber en panne juste avant le tout départ !

    Cette petite mésaventure mise à part, nous voici fin prêts, après avoir tout checké ce qui était possible et inimaginable, rempli notre petit espace de vie de couvertures et de pull, sans oublier le comté dans le frigo (le grand luxe qu’on vous dit, on part avec un vrai frigo !). Les garçons ont pu terminer leur année scolaire, dire au revoir aux copains et aux maîtres et maîtresses, bénéficier d’une coupe de cheveux maison (parce que c’est chouette les mèches et les épis à dessiner, mais beaucoup moins à vivre dans la vraie vie !), et emporter ce qu’ils souhaitaient comme jeux et livres avec eux !

    Et j’espère bien vous partager ici, sur Facebook et ailleurs, les petites aventures également de Lumen, une petite fille qui s’apprête également à découvrir l’Islande et moultes aventures au quotidien. Et comme nous n’avons pas encore de photos de notre périple, je vous mets ici les premières illustrations la concernant :

     

    Et sur ces quelques mots, je vous souhaite à tous une belle aventure du jour !


  • Un coffre sur-mesure !

    Un coffre sur-mesure !

    Comme vous l’avez déjà compris au vu de notre véhicule, la place est limitée, et très limitée au final. Donc, notre grand défi, c’est d’optimiser la place : chaque chose doit trouver son endroit, mais le truc cool, ce serait aussi de rajouter des endroits potentiels pour mettre des choses (et de façon organisée !).

    Donc… Quand nous avons récupéré le 4×4, tous les endroits sont passés au crible…. Et regardez-moi un peu ça :

    Ceci est donc la plage arrière du Defender. Et autant le dire tout de suite, nos enfants ne sont pas des grands. Plutôt des formats de voyage ! Même s’ils grandissent, nous avons une marge appréciable de manœuvre, et ce serait dommage de laisser cette place, là, sans rien faire….

    Au tour de Sam de retrousser ses manches après avoir pris ouatmille mesures, et de faire quelques découpes de planches à Leroy-Merlin. Il fabrique un coffre durant le confinement avec trois compartiments : deux grands de chaque côté correspondant à chaque enfant, et un troisième, plus petit, au milieu, qui, si nous avons un passager peut se vider pour que l’adulte puisse y mettre les pieds. Bon, dis comme ça, ça n’a pas l’air simple…. Et puis, il a fallu penser également à comment positionner les ouvertures/fermetures de ce coffre : une planche posée sur chaque compartiment…. Et test ultime : une fois le coffre monté et cloué, supporte-t-il les enfants debout dessus ? Car mine de rien ils vont tous les jours à grimper dessus, à redescendre, à prendre appui…. Bref !

    Les enfants mettent la main à la pâte pour leur beau coffre. Ils peignent chacun leur tour pour le rendre plus résistant. De la peinture exprès pour l’extérieur !

    A présent que chaque partie du coffre est sèche…. Une autre épreuve l’attend : rentrera-t-il une fois terminé dans le 4×4 ? Parce que c’est bien beau de vouloir fabriquer des choses sur mesure, encore faut-il qu’elles rentrent dedans une fois montées entièrement….. (parce que s’il faut démonter pour les remonter dans l’habitacle même du Defender, ça ne donne pas le même effort, voyez-vous ? ).

     

    Mais Sam a bien pensé son truc et il n’aura pas à défaire sa production : tout rentre !

    Le coffre sera principalement destiné à recevoir jouets et affaires scolaires pour les enfants (on a également réussi à mettre des jeux de société pour les petites vacances dans le Vercors) et vous pouvez voir aussi par-dessus notre table pour manger ;D


  • Des fils et des aiguilles…

    Des fils et des aiguilles…

    A présent que le galop d’essai fut passé en terme d’utilisation de la machine à coudre, il est temps de passer aux choses sérieuses !  Même très sérieuses…

     

    Les housses et les rideaux intérieurs !!

     

    Rien que ça….

    Bon, déjà, après avoir traîné les hommes dans les magasins de tissus, leurs choix s’étaient arrêtés sur des tipis… Comme les vacances de Noël approchaient, je n’avais pas encore eu le temps de faire le point sur le métrage : quelle longueur en fonction de la largeur du tissus devais-je prendre pour fabriquer tout ce que nous voulions. Je zieutais au fur et à mesure sur le site web des Tissus des Ursules (où se trouvaient nos tissus), et je voyais… les stocks diminuer. Bon……

    On respire un bon coup et à l’autre bout de la France où je me trouvais à ce moment-là, je commandais. Pour les housses des matelas (repas et enfants), j’ai choisi un tissu enduit imperméable et lavable de couleur beige, mais pas trop clair quand même, et pour les rideaux, j’ai pris ce qu’il restait des tipis et je me suis fait plaisir avec un tissu avec des petits chats (parce qu’on aime les petits chats chez nous), même si je ne savais pas exactement ce que j’allais en faire à ce moment-là.

    Bon, plus qu’à attendre la commande qui n’arrivera qu’au début de la nouvelle année 2020. Bon… une housse… Oui, théoriquement, ça devrait le faire (j’aime toujours bien le théorique). En pratique, c’est autre chose. Et le tissu n’est pas le même. Heureusement, mes parents venaient pour le début de la nouvelle année pour un repas en famille. Si le samedi était consacré à notre petite communauté, le dimanche fut toute autre. C’était le moment de s’atteler à l’atelier pratique avec ma maman (Une Aiguillée, Quelques points) à la première housse. Pour le coup, j’ai choisi de faire la plus grande, c’est à dire le matelas d’Esteban (oui, au final, on continue la « chambre » du loulou). Il s’agit également du matelas le plus grand avec ce tissu (donc normalement le plus « casse-pied » à manipuler). Et comme il s’agit du premier, c’est un test pratique grandeur nature.

    Nous avons investi tout le salon (pendant que les gros bras étaient partis charger des meubles). La couture, ça peut prendre de la place (juste comme ça).

    Nous avons même eu l’aide de petites mains pour les mesures et les marquages de marges (oui, je suis débutante, je ne fais pas encore au coup d’oeil et je préfère que ce soit bien visible pour mes yeux). L’avantage c’est que le savon marque super bien sur ce tissu là et il était facile à plier et suffisamment rigide pour ne pas partir en vrille.

    Après une grande journée de travail, notre housse finale fut prête, et nous pouvions l’essayer sur le matelas dont nous disposions ! Succès total !

     

    En tout cas, en une journée, nous avions donc pu faire la conception, le découpage, et l’assemblage. Bon, okay, nous étions deux (et demi si l’on peut dire).

    Mes parents partirent, la routine du boulot s’installa, le temps manqua…. jusqu’aux vacances de février où nous passâmes une bonne semaine en Bretagne après un week-end en Vendée – Sam nous ayant accompagné durant le week-end puis s’est retourné vers la région parisienne en train. Avec ma mère, nous colonisâmes tout le salon du bas qui devint un atelier géant de couture (et de temps à autre la cuisine), les garçons profitant de ces moments pour jouer et respirer un peu le dehors.

    Pendant que je m’occupais de coudre les housses des matelas en série (hey vi…. ), ma mère en un éclair s’occupa des petits rideaux (mais alors à une vitesse… ! ). Comme j’étais beaucoup plus lente avec les housses, je lui ai donné également la mission de faire la séparation habitacle/voiture.

    A la base, il n’y avait qu’un rectangle de rouge, qui pendouillait sur les sièges, tout noirci par l’accroche de la table (là pour permettre à la table d’être plus stable). Donc je n’étais pas très convaincue. J’avais pris les mesures avant de partir et ma mère dut donc travailler à l’aveugle. Je voulais deux pièces. Une qui resterait tout le temps accroché et séparant les garçons, l’autre pièce pouvant s’enlever facilement et tous les jours – pour permettre à Esteban de passer par le lit de son frère). Et quitte à refaire quelque chose de mieux, autant le rendre plus fonctionnel. Pourquoi ne pas rajouter des poches à celui restant en place pour que les garçons puissent notamment ranger leur doudou ?

    Et puis bon, il fallait que ce soit raccord pour Esteban : on gardait le tissu étoilé qui s’illuminait dans le noir, mais nous tombions sur un os : quel tissu prendre pour l’autre côté. Je le voulais clair forcément. Pour les poches, ce serait le tissu avec les petits chats !

    Nous avons donc fait un tour en magasin… Surtout que je voulais également du tissu imperméable pour faire des alèses et des élastiques en plus ! Nous trouvâmes notre bonheur : un tissu avec des sapins de temps à autre doré pour la séparation, mon tissu d’alèse, les élastiques au mètre, mais également un tissu étoilé – pour la housse de notre matelas à nous (au final, il y a beaucoup de choses qui se rapportent à l’espace dans notre habitacle sisi… ! ). Nous avons également pris du tissu en toile de jute (pour un test d’éponge lavable) et des petites bandes marquées « mon doudou » pour les poches et du thermocollant pour rigidifier la séparation qui va accueillir les poches ! Bon… à noter pour plus tard : les magasins de tissus sont devenus une véritable caverne d’Ali Baba et de tentations diverses et variées !

    Les petites mains s’activèrent toute la semaine ! Et nous avons été très productives ! Ma mère fit des merveilles avec la séparation (en plus à l’aveugle vous dis-je !), et nous ferons les quelques retouches un peu plus tard (de mon côté je déplaçais à mon retour dans la région parisienne une poche et ma mère rectifia la longueur une fois venue nous voir après le confinement). Mais voici un 4×4 qui s’est payé un petit lifting interne ! Et les enfants en sont particulièrement ravis !

    Nous repartons de cette semaine de couture avec des housses, des rideaux, une superbe séparation et une conception d’alèse dans les bagages (oui après tout ça, l’alèse c’est finger in the nose oh oh ! )

    Et juste pour les yeux, les résultats finaux !